Yene
Todd, Sénégal. Entre le lac absent de la saison sèche et l’Océan.
Un souffle gigantesque. Plus encore la nuit qui semble abandonnée à
son invincible marée. Pour me guérir de mes insomnies, je m’imagine
dans une case minuscule au milieu d’une mer infinie. Je me laisse
bercer, et perdre. Je ne dors pas, bien sûr. Quelque chose s’écrit.